L’agriculture française est entrée depuis quelques années dans une démarche de réduction de l’utilisation d’intrants phytosanitaires conventionnels. En culture de pommes de terre, le mildiou (Phytophthora infestans), principal bio-agresseur, est responsable d’un Indice de Fréquence de Traitements (IFT) élevé. La mise en place de solutions alternatives pour lutter contre cette maladie est donc primordial pour la filière. Financé par l’ONEMA, le projet MilPomBio visait à proposer aux producteurs des stratégies de protection intégrant différents leviers tels que l’utilisation de produits de biocontrôle ou le choix de variétés appropriées. Ce billet fait le point sur les résultats de ce projet.
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